Mario SAIZ Y GARCÍA
Prof. Thomas LAMOUROUX
25 avril 2020
Comment voyez-vous le monde
d'après la crise du coronavirus ?
En suite, les politiciens et les médias on fait compte-rendu de ce que nous devrons faire, une fois que cette crise aille passé devant nous. Les conséquences seront nombreux en ce que renvoie à la manière de nous organiser, de nous promener et de nous mettre en relation. En d’autres termes, dorénavant, on doit se réinventer dans une nouvelle mondialisation basée à la pharmacovigilance et le traitement des données par rapport à la sécurité de tous.
Les procédures et gestes-barrière au quotidien : une manière de nous contrôler ?
En ce qui concerne les procédures, les gestes-barrière seront la réponse evidente : ils seront plus communs, inclus dans les routines quotidiennes de la citoyenneté. Ce fait très simple aura des grands effets dans nos manières de nous
mettre en relation. La sécurité et le nettoyage ont devenus en fait indispensables par la vie des tous. La sécurité a-t-elle obtenue par une réduction de nos droits fondamentaux ? C’est la nettoyage l’excuse de nous contrôler par les téléphones portables ?
L’échec vient de ceux qui sont contre d’une coupé aux libertés individuelles et qui regardent cette réalité avec émoi négative. Cependant, la vision majoritaire était loin de celle des libertés et s’appuie dans les théories du contrôle de la population pour diminuer les cas du Covid-19. Mais ce sera positif où négatif au longue terme ?
À mon avis, tous les gestes-barrière seront recommandés, en abandonnant la manière méditerranéenne d’établir communication entre personnes : en se touchant, en parlant très proches les uns des autres. En effet, c’est toute une opportunité de les laisser et commencer une vie plus distancée.
Toutefois, si on pense dans un embrasse, un bisou… Seront-ils éliminés ? C’est un sujet clivant, dans mon cas, je privilégierai le contact sur la sensation de sécurité. Les humains n’importe la nationalité laquelle ils ont, ont des petits gestes comme une façon de se communiquer entre eux.
Une nouvelle manière d’entendre l’économie : plus proche, plus propre, plus autosuffisante
D’un côté, les initiatives qui on bougé lors de cette crise, comme des économies circulaires entre les citoyens d’une même communauté, en cherchant des solutions par les petits entrepreneurs et les magasins qui ont été touchées par cette crise, sont popularisées à l’abri des sites internet qui puissent la force citoyenne et qui la utilisent pour tresser une réseau entre nous mêmes : être autosuffisants, proches et plus propres. Maintenant que les grandes machineries du système capitaliste on été détenues, et s’ont fixés dans des réponses à grande échelle, ces petits liens entre nous ont devenus assez bien quotidiens.
Les effets que la surconsommation des produits et les conséquences environnementales comme les gaz à effet serre, la pollution excessive dans les grandes villes, et la diminution de la qualité dans des produits vendus aux supermarchés ont fait tous que les goûts de les citoyens aillent changés pendant ces jours-ci.
En conclusion, un monde plus polarisé avec beaucoup de frontières physiques, une monde inégale et contrôlé par les nouvelles technologies constitueront, cela dit, le monde de lendemain. Mais si nous avons une petite espoir de ce qui a été développé par la classe ouvrière : plus digitale ont pourrait finir avec cette histoire à dormir debout.
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